Et oui je te l’annonce peut-être, le syndrome de l’imposteur est une imposture et je vais t’expliquer d’ici quelques instants pourquoi mon intention est de faire exploser cette notion de syndrome de l’imposteur. Pourquoi ? Pour que tu puisses poser des actions, amplifier ton rayonnement, ton impact et tes résultats, et pour que tu puisses à la fin de cette lecture m’écrire un petit commentaire pour me dire « wouahhhh c’est incroyable cet article a changé ma vie » !
Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ?
C’est un concept que l’on place sur un ressenti. Lorsque j’ai un ressenti et que je dis « oui mais j’ai le syndrome de l’imposteur », je viens coller une image et un problème dessus.
Et comme j’ai le syndrome de l’imposteur, il faut que travaille dessus et donc je m’éloigne de plus en plus de la sensation première.
La sensation première de ce syndrome est « j’ai peur » : peur du rejet de l’autre, peur du ridicule, peur de l’échec, peur de faire saboter mon business,…
Voilà ce que j’ai envie de te dire : « si tu as peur, c’est OK, alors pose des questions »
Une chose est étonnante lorsque l’on est dans l’action, c’est que nous n’avons pas peur. Etre dans la peur et dans l’action en même temps est physiologiquement impossible.
Posons-nous les questions :
Si j’alimente mes journées avec des instants de peur, est-ce que cela sera plutôt positif à court, moyen ou long terme pour moi ?
Si je pose des actions, cela ne va-t-il pas permettre l’émergence d’une situation dans laquelle je vais me sentir de plus en plus confortable et en bien-être ?
Que faire avec ce syndrome de l’imposteur?
L’idée ici est de jeter ce concept du syndrome de l’imposteur par la fenêtre. Avec des concepts, nous ne savons pas faire quoique ce soit, alors qu’avec un ressenti et une énergie, on peut avancer.
On peut donc commencer par se dire : « Ok j’ai cette énergie que l’on pourrait appeler syndrome de l’imposteur ou ce ressenti de peur. Et maintenant, qu’est-ce que j’en fais ? J’en fais une prison pour rester dans ma peur, ou bien je m’appuie sur ma peur pour poser un acte, un geste ?
Voilà ce que font les artistes, ils ont le trac mais ils montent sur scène.
C’est aussi ce que font les hommes d’affaires ou les entrepreneurs, ils ont le trac quand ils vont voir leur banquier, quand ils lancent une nouvelle campagne… Même Steve Jobs ils avaient le trac quand il a lancé l’iPhone. Il s’est appuyé sur sa peur pour poser des actions et ne s’est pas laissé enfermer dedans.
Le principe du syndrome de l’imposteur c’est de s’appuyer dessus sans se laisser enfermer par lui et surtout de le ramener à un ressenti, à une sensation dans l’instant. Ne faisons pas de la sensation d’un instant un concept qui aurait une durée dans le temps parce qu’on risque de multiplier les instants dans lesquels on va se sentir comme ça.
« Donc je me sens peureux dans cette situation, je ressens de la peur à l’idée de faire ceci ou de mettre en place telle campagne, d’aller voir le client, de prendre mon téléphone pour appeler tel partenaire… Je me sens traqué, j’ai peur. Ok super ! Je vais m’appuyer dessus pour poser une action parce que je ne fais pas partie de ces personnes qui trouvent des excuses en appelant ça le syndrome de l’imposteur. Je fais partie de ces personnes qui trouvent des moyens en m’appuyant sur tout ce que je ressens, sur tout ce que je vis pour générer les résultats qui font joie et paix dans mon cœur. »
Je ne parle pas pour faire plaisir ou pour plaire, mais je parle pour une et une seule chose : pour générer des résultats dans la vie de mes clients, pour qu’ils amplifient leur impact leur rayonnement et leur chiffre d’affaires, pour que comme mes clients en individuel, tu puisses multiplier par deux, par trois, par quatre, par 10, ton chiffre d’affaires dans l’année qui vient.
C’est pour ça que je prends la parole et c’est pour ça que j’ai conçu cette série d’articles exponentiels.
Je suis vraiment ravi de partager ça avec toi. Et si tu as eu un déclic, si tu as une réaction ou une question, partage-les dans les commentaires. J’aime te lire, ça m’aide à écrire des articles de plus en plus pertinents, qui collent de plus en plus à ta réalité.
A ton succès exponentiel,
Jean-Luc